Comme on ne lit jamais assez, j'ai décidé aussi de participer aux harlequinades.

Je crois bien n'avoir jamais lu un livre de la collection Harlequin, et il n'est jamais trop tard pour bien faire.
Après avoir constaté que ma bibliothèque municipale n'en avait pas (franchement pourquoi qu'on paye des impôts je vous le demande ?), je suis allée me fournir chez Carrefour et j'ai passé la caisse, la tête haute, avec un exemplaire prometteur de la collection "irrésisitibles cheikhs" délicieusement intitulé "la captive d'al ankhara" ; vous devinerez aisément pourquoi mon oeil a été attiré par ce titre accrocheur.
le pitch : Epouvantée, Layla se demande comment elle a pu se montrer aussi stupide en acceptant de se rendre à Al Ankhara malgré les mises en garde répétées de sa mère. A présent prisonnière dans le palais du sultan, elle sait qu'on veut lui faire épouser de force un vieux chef rebelle, violent et repoussant. Cependant, alors que tout espoir semble perdu, Layla fait la rencontre inattendue du cheikh Khalil, le fils du sultan. Et elle comprend qu'il représente peut-être sa dernière chance d'échapper au terrible destin qu'on lui prépare...

Le volume fait apparemment partie d'une trilogie ; or je déteste lire les aventures des héros récurrents dans le désordre (mon côté Rain Man) ; pour une fois, j'ai décidé de faire une entorse à mon propre règlement, en espérant que j'arriverai à saisir tout le sel de l'intrigue sans avoir lu le premier tome.
Je frétille à l'avance de tous ces clichés réunis et je ne manquerai pas d'en reparler.
PS: sinon je n'ai toujours pas accouché, ce qui est une bonne chose ; par contre ayant un peu forcé cette semaine, en particulier à cause de trois rendez vous chez le dentiste (qui est en passe de devenir un vrai pote, il faut dire que je suis la première contributrice à l'achat de sa Ferrari), mais aussi de trempages de luc fréquents dans la piscine pour échapper à la canicule.
Donc ce week end et lundi, je reste accrochée à mon canapé comme une moule à son rocher.